Cette expression imagée est née dans la seconde moitié du XXe siècle, souvent pour décrire les techniques mises au point par les escrocs et les bonimenteurs. Elle puise ses origines dans la chasse aux alouettes.
The Decoy or A Mirror for Skylarks (French: Le miroir aux alouettes) is a 1935 adventure film directed by Roger Le Bon and Hans Steinhoff and starring Edwige Feuillère, Pierre Brasseur and Jessie Vihrog.[1]
Le miroir aux alouettes
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Au bilan, le fonds spécial est un miroir aux alouettes : son montant colossal sera investi dans des plateformes de remplacement, principalement américaines, et ne sauvegardera au fond que les coopérations européennes qui comptent pour l'Allemagne : la Norvège et les Pays-Bas. Que se passera-t-il après l'épuisement du fonds ? L'actuelle coalition s'en lave les mains. Or, le stop-and-go dans l'armement ne produit que deux choses : le gonflement des devis industriels et la déstabilisation d'un système qui, après avoir grossi démesurément, sera mis à la diète. C'est la voie britannique dont on ne peut dire qu'il soit un modèle d'efficacité.
Beau Menteur joue beaucoup avec le reflet du miroir. Sa relation avec lui ressemble à une vie de couple. Non seulement il se fait des films, mais il aime à se voir dedans. Son reflet dans le miroir le fascine et le façonne. Il le contrarie aussi, souvent. Il sait tout du pouvoir des images : aguicheuses et trompeuses.
François Baroin, ancien ministre UMP du Budget puis de l'Economie, a qualifié lundi de "miroir aux alouettes" l'idée d'une fusion CSG-Impôt sur le revenu, mais a jugé impossible de baisser les impôts actuellement.
Les modes intellectuelles l'exigent, il est malséant de parler de la publicité en termes neutres et sans y désigner la source de nos malheurs, le symptôme de nos aliénations. Insolite serait celui qui ne voudrait pas y voir le miroir aux alouettes de la société de consommation et l'impérialisme du Veau d'or. Tout récemment encore, on a pu, à France-Inter (émission d'Anne Gaillard) et à Antenne 2 [les Dossiers de l'écran) , entendre ce genre de couplet. Evidemment, on s'y est bien gardé de parler de cette autre forme de publicité qu'est la propagande, une publicité qui ne se donne jamais à visage découvert. Est-il scandaleux de rappeler que la publicité, qui veut faire connaître et faire vendre des produits dont elle est en quelque sorte la vitrine, ne dissimule pas sa fonction mais que le propagandiste préfère prendre le ton sévère du Juste, s'affirmer serviteur du Vrai et du Bien, alors même qu'il ne vise à rien d'autre qu'à faire accepter une marchandise frelatée ? A qui veut se garder des engouements et des élans passionnés: il reste à se demander ce que signifie ce phénomène social propre à nos sociétés : la publicité. Celui- là ne pourra manquer d'y voir un mode original de communication des êtres entre eux et avec leurs produits. Car, dans le discours publicitaire, ce qui passe et se reflète, c'est la forme que prend le désir dans une conjoncture socio-historique, en quelque sorte sa symbolisation. La publicité asservit-elle l'homme aux objets ? On peut en douter. Après un premier temps, nécessaire à l'adaptation de l'homme au nouvel environnement que crée ce nouveau media, la publicité pourrait bien, tout au contraire, contribuer à l'en distancer. D'abord en opposant les objets
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